Les Rejouissances

 

On ne peut oublier les gaies réjouissances qui faisaient concurrence aux fêtes religieuses

Au XVII e et XVIII e siècles ,on ne joue plus les mystères dans les églises, le goût du spectacle est plus gaie et parfois à lieu en plein air où dans des salles.

Un théâtre s’ouvre sur la grand place en 1774.

L’amour de la musiques et des sports est assez important. Et l’on danse après le concert

Des concerts d’amateurs ont lieu dans les établissements de la ville et des troupes de comédiens donnent des représentations

Parmi les bibliophiles , on cite les noms de Desjardins, Dumoustier, Cottin, Ozane, Néret, et on peut voir des collections de coquillages , de minéraux . Le Chapitre met à la disposition du public le mardi et jeudi , les 3000 volumes de la bibliothèque, léguée par un chanoine. La librairie des religieux de St Quentin en l’Isle est très belle aussi.

N’oublions pas les archers et arquebusiers ,qui firent des fêtes magnifiques et l’on tiré l’oiseau à l’arquebuse .Une course avait lieu aussi aux coutures.

Plus tard dans les année 1910, on chante en commun ,tous les coutumes des Flandres. Les fanfares , les " Orphéons "  les orchestres sont la passion des jeunes ainsi que le jeu de boules, tirs à l’arbalète, jeux de l’arc, …..

On ouvre des écoles de dessin, un jardin d’horticulture est ouvert aux Champs-Elysées. Un pont de 20 mètres est lancé sur la Somme, ornée de figures de bronze de Theunissen, les tramways sillonnent la ville ;le gaz est remplacé par l’électicité

L ‘église St Jacques est remplacée par une Chambre de commerce, on reconstruit le Palais de Fervaques, des halles centrales, un orphelinat, une Caisse d’Epargne

Les cours secondaires se transforment en collège (1884) un lycée (1895 )